Accélérateur International : 15 nouvelles entreprises à l’assaut du monde

15 PME et ETI ont intégré la 2e promotion de l’Accélérateur International. Elles auront 18 mois pour booster leur croissance au-delà des frontières de l’Hexagone.

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Elles considèrent l’export comme leur premier axe de croissance. 15 entreprises viennent d’intégrer la deuxième promotion de l’Accélérateur International lancé par Bpifrance et Business France.

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Un accélérateur pour conquérir le monde

Durant dix-huit mois, ces entreprises ambitieuses bénéficieront d’un accompagnement individuel et collectif. Au programme :

  • du conseil, avec la réalisation d’un diagnostic stratégique des activités export.
  • la réalisation d’un plan de conquête afin d’explorer des pays cibles et consolider le développement à l’export.
  • la participation à 6 séminaires thématiques pour aborder les questions incontournables du développement à l’international et alimenter leur réflexion stratégique.
  • de la mise en relation, afin de partager les bonnes pratiques et identifier les synergies business susceptibles d’accentuer la dimension internationale de ces entreprises.

Paroles d’accélérés : la promo 2

 

  • Martine Païs, présidente de CRM Meca

« Aujourd’hui, on travaille pour l’export mais on ne sait pas exporter. Donc, très humblement, on va apprendre. Je veux aller chercher ce chiffre qui nous échappe ailleurs. »

  • Kevin Lecuivre, directeur général de Coppernic

« Avant l’accélérateur, on faisait beaucoup. Maintenant, on fait des très bonnes choses, de manière structurée et organisée. »

  • Agnes Jullian, CEO de Technilum

« Notre savoir-faire peut se développer davantage dans d’autres pays. Le but, c’est d’éviter les fluctuations du marché national. »

  • Jean-Yves Viau, directeur opérationnel de Saint-Dizier Environnement

« L’accélérateur est un booster. On est forcément motivé quand on vient ici. C’est vraiment comme ça qu’on progresse et qu’on avance. »

  • Cyril Collignon, président de Kahler Communication

« C’est intéressant de rencontrer d’autres chefs d’entreprise français, d’échanger sur des problématiques différentes. »